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Merci encore Chanthal pour ce nouveau moment. Je n’ai pas résisté longtemps depuis notre dernière rencontre. 2 jours. Trop hâte de te revoir et de passer avec toi un très joli moment, de revivre ces instants délicieux que tu sais créer par ton élégance, ta sensualité, ton esprit, ta tendresse et ton goût de la vie. Je n’ai pas beaucoup de mérite à t’avoir très tôt remarqué. Tes photos sont non seulement magnifiques mais la singularité de ta personne y éclate. Tu es non seulement une merveille de beauté mais aussi une femme libre, indépendante, cultivée, gourmande de la vie et de ses plaisirs. Ton regard si chaleureux, si sensuels dans tes photos. Ta plastique divine. Si ton philosophe grec favori t’avait connu, nul doute qu’il aurait écrit son Banquet différemment, qu’il aurait fait discourir différemment Socrate. Il n’aurait pas fait de l’hétérosexualité seulement une activité visant à la procréation. Il en aurait vu la beauté, la noblesse, l’esprit.  Et par amour platonique on parlerait d’un art de l’amour mélangeant subtilement esprit et chair, beauté des corps et élégance de la discussion. Hélas ! Il fallut attendre les romains pour donner sa place à la beauté des femmes. Heureux comme un romain ! Michel Onfray a raison! Petite amie ? Non. Véritable amie ? Oui. Belle amie ? Tout à fait. Magicienne capable de transformer une nuit humide et froide en un merveilleux moment : totalement. Je ne connais pas ton pays, ton continent. Mais avec toi, j’ai été Marco Polo découvrant un univers inconnu, merveilleux, incroyable, beau et sensuel. Tendre. Ninon de Lenclos tu as trouvé ton égale, ta soeur latine. Le nouveau soleil de Paris.  Tu étais merveilleusement belle hier soir. Majestueusement belle lorsque tu traversais de ta grande foulée ton grand salon. Avec tes jambes magnifiques. Ton port de tête majestueux. Ta silhouette si latina.  J’ai dégusté où réglant la musique ton visage était éclairé par la lumière de ton portable. Ce moment était une merveilleuse symphonie romantique sur les bords du grand fleuve. Avec toi, le champagne avait une saveur divine. Après la douche où je me suis semblé si faible, il a suffit que je t’aperçoive pour que la force de la vie me saisisse à nouveau. Un échange de regards, le partage d’une coupe de champagne. Enfin, le rivage de ton lit. Le moment si attendu où tu libères tes seins somptueux. Quelques esquives pour réussir à poser de timides baisers sur ton corps. En succombant à la douceur de ta peau. Puis…. Le rideau tombe. Une heure m’a semblé si court. J’aurai voulu tellement parcourir tous les continents de ton corps. M’y perdre. Les faire entrer en tremblement pour certains, en éruption pour d’autres. Ne t’inquiète pas : je n’ai eu aucune difficulté à rentrer chez moi. J’étais un automate avançant un pied après l’autre, la tête encore absorbé par le souvenir de ton visage, de ces mouvements, de ces moments où les corps se consument, se plaisent, se perdent, … et se révèlent. J’espère te revoir le plus tôt possible. Même pour une partie de dames, autour d’un verre d’un excellent vin. Si cela n’est pas possible, tu resteras pour moi une des plus belles personnes que j’ai croisée. Vous êtes merveilleuses Mesdames, et toi Chanthal tu es solaire.